Rappelle-toi ta parole à ton serviteur,
celle dont tu fis mon espoir.
Elle est ma consolation dans mon épreuve :
ta promesse me fait vivre.
Des orgueilleux m'ont accablé de railleries,
je n'ai pas dévié de ta loi.
Je me rappelle tes décisions d'autrefois :
voilà ma consolation, Seigneur.
Face aux impies, la fureur me prend,
car ils abandonnent ta loi.
J'ai fait de tes commandements mon cantique
dans ma demeure d'étranger.
La nuit, je me rappelle ton nom
pour observer ta loi.
Ce qui me revient, Seigneur,
c'est de garder tes préceptes.